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C’est un petit renard qui vient tous les jours nous voir depuis quelques temps…En plein jour, autrement dit à des heures inhabituelles. Il n’a pas peur de l’homme, il s’approche beaucoup trop prés. Il est joueur et curieux, il a emporté la balle et le nœud en corde que nous lui avens donné à la place de la longe qu’il avait mâchouillée! Comme un chien. Il est doux et discret, il aime les chats. Pour être si prés des hommes il a dû être nourri tout petit par un humain  qui l’aura relâché dans la nature. Sauf que le mal est fait : il n’est plus sauvage et ce n’est pas un animal domestique.

On essaie d’avoir le moins de contacts avec lui pour ne pas l’encourager. On aimerait pouvoir lui faire comprendre qu’il est en sursis et que certains humains peuvent être cruels avec les animaux, et avec les renards en particulier. On ne se fait pas d’illusions, on sait parfaitement qu’il sera pourchassé et tué dés l’ouverture de la chasse.

"Le renard est le « prédateur » le plus persécuté en France. Plusieurs centaines de milliers de renards sont éliminés chaque année pour satisfaire les désirs du lobby de la chasse.

Il est chassé par tir de septembre au dernier jour de février, mais les préfets peuvent, de manière dérogatoire, autoriser la chasse du renard dès le 1er juin. Jusqu’à fin mars, le renard subit également les chasses à courre au cours desquelles l’animal est poursuivi par des meutes de chiens.

Quel que soit le mode de chasse, le renard subit dix mois par an le funeste loisir d’une frange de la population qui ne représente pourtant guère plus de 2 % de nos concitoyens.

Le renard fait partie des espèces pouvant être classées « nuisibles » par ceux là même qui le pourchassent ! Ce statut lui vaut d’être tué par tir, piégeage et déterrage toute l’année, sur la quasi-totalité du territoire.

Les techniques de piégeage autorisées sont source de grandes souffrances pour le renard, mais également pour les autres animaux accidentellement capturés. En effet, qui peut croire que seul le renard est attiré par un bout de viande à portée de museau ? Martre, putois, mais aussi chien ou chat domestique sont les victimes collatérales de ces engins de torture.

Rien ne justifie l’abattage massif et brutal dont le renard fait l’objet. Nous savons aujourd’hui que chaque espèce joue un rôle au sein du milieu dans lequel il évolue. Nous connaissons les bienfaits d’un renard sur les cultures qu’il débarrasse de rongeurs. Nous reconnaissons à chaque animal le caractère d’être vivant doué de sensibilité (article 515-14 du Code civil). Si les raisons éthiques ne suffisent pas à convaincre nos décideurs de respecter un tel animal, les raisons économiques devraient faire mouche. Il serait temps que l’intérêt général prime sur l’intérêt particulier et d’une poignée de personnes."

Source https://reporterre.net/

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«  Parce que depuis la nuit des temps, les chasseurs haïssent le renard.

Et depuis la nuit des temps, les puissants laissent faire.

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De nos jours, nos gouvernants laissent faire une procédure inique qui fait que les chasseurs et les piégeurs sont juges et bourreaux.

On imagine (et parfois on observe à l'occasion de rares fuites) les dérives qu'impliquent l'entière latitude qui est laissée aux chasseurs et aux piégeurs. Sans barrières, tout est permis: des centaines de volailles croquées de façon récurrentes dans des élevages pourtant industriels (!?), des poules pondeuses dont le prix se trouve estimé à plus de 25 euros pièce (!?) alors qu'une poule pondeuse, dès qu'elle a plus de six mois est vouée à la réforme et n'a plus qu'une valeur symbolique de un ou deux euros, des pertes régulières déclarées par des élevages de gibiers, par ailleurs clients des fédérations de chasseurs...etc

La procédure est scandaleuse, le procédé est grossier.

Chaque année, la compilation des dégâts imputés au renard atteint pour chaque département un montant d'environ 15 000 euros, pas trop pour ne pas réveiller l'attention de l'administration, mais suffisant pour déclencher le classement automatique parce des 10 000 euros requis officieusement par les préfectures.

Tout cela est bien rodé, les chasseurs et les piégeurs "chargent la barque", l'administration ferme les yeux et le renard subit... »

A lire dans son intégralité sur :

Le renard condamné à la cruauté?

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Et pendant ce temps, en Haute-Loire, les agriculteurs manquent de renards, cherchez l’erreur !?

A lire : Quand les agriculteurs manquent de renards....

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