Les vétérinaires sur la vallée de l'Hérault
Clermont l’Hérault
Langdovet Clinique des Tanes Basses
Rue du Sauvignon 34800 Clermont l'Hérault
04 67 96 37 20
Gignac
Dr Carole Cabannes
220 Avenue de Lodève, 34150 Gignac
04 67 35 84 57
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Dr Dominique Chatelain
ZA Armillères 34150 Gignac
04 67 57 86 20
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Lodève
Dr Sébastien Meyrieu
Zone Industrielle le Capitoul,
Chemin de Montpellier Nord 34700 Lodève
04 67 44 12 47
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St Andre de Sangonis
Dr Thierry Guy
ZA La Garrigue 1 Rue de la Lucque
34725 Saint-André-de-Sangonis
04 67 57 77 89
Vétérinaire à domicile
Dr Anne Lipcey
06 75 92 21 20
https://www.facebook.com/mavetoadomicile/
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Urgence vétérinaire, cliniques de garde
Montpellier
Vétérinaires 2 Toute Urgence Montpellier
797 Av. du Marché Gare, 34000 Montpellier
04 67 45 46 84
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Béziers
Stadium Vet'-Urgences
8 Rue Roque Segui
34420 Villeneuve-lès-Béziers
0467012922
Faire garder ses animaux à la maison
Homesitting
Un couple ou une personne seule, exclusivement retraité séjourne dans votre résidence pour y garantir une présence et assurer la garde de vos animaux. Si vous partez quelques jours ou davantage, que vos animaux ne peuvent vous accompagner, quoi de mieux que de les laisser dans leur environnement pour éviter de les perturber?
La formule est géniale, les personnes fiables : que du bonheur!!! Trés important les personnes ne sont pas rémunérées, c'est dans l'idée de découvrir une région, une ville, ou tout simplement de changer d'air qu'elles acceptent les missions. Le montant des gardes (voir tarif en ligne) est pour l'association qui garantit le sérieux des personnes en charge de vos animaux
Les associations pour la faune sauvage
Vous avez trouvé un oiseau blessé? Un oisillon tombé du nid? Un animal sauvage bessé ou abandonné?
La Ligue de Protection des Oiseaux
Le Centre Régional de Sauvegarde de la Faune Sauvage se trouve à Villeveyrac. Il soigne gratuitement les oiseaux et petits mammifères sauvages en détresse ainsi que deux espèces de tortues autochtones. En raison d'un grand nombre d'accueils (+ de 1600/an) et pour des raisons financières, le centre ne peut assurer le transport des animaux, c'est à vous de les rapatrier. A noter qu'ils ne reçoivent pas les pigeons domestiques.
Si vous pensez avoir trouvé un animal sauvage blessé ou pour un conseil, contact pendant les heures de permanence :
06.29.81.66.31 ou 09.67.18.76.24.
Horaires des permanences téléphoniques :
En été du lundi au samedi, 9h-18h30 et dimanche 9h-17h En Hiver du lundi au samedi de 9h à 16h30 et dimanche 9h-16h
Horaires pour l'accueil des animaux :
En été du lundi au samedi, 9h-18h30 et dimanche 9h-17h En Hiver du lundi au dimanche de 9h à 16h30
Goupil Connexion
C’est le premier hôpital pour la faune sauvage du Languedoc-Roussillon. Il est adossé à la clinique vétérinaire de Ganges. Il est porté par de nombreux bénévoles de l’association, très engagés, qui font en sorte que les animaux soient acheminés, soignés, hospitalisés dans les meilleures conditions, nourris, réhabilités au vol pour pouvoir repartir dans les meilleures conditions. Près de 500 animaux sont reçus chaque année…. A noter qu'ils acceptent tous les oiseaux y compris les pigeons!
Vous avez découvert un animal sauvage en détresse ou un juvénile semblant abandonné. Avant d’agir ou pas, il faut connaître quelques précautions d’usage et quelques notions de la législation française en matière de faune sauvage. Ainsi, il est important de rappeler que la détention et le transport des animaux sauvages, qu’ils soient chassables ou protégés, vivants ou morts, sont interdits en France sans « autorisation de détention » délivrée par le préfet. Une tolérance permet cependant aux particuliers qui secourent un animal blessé, de l’acheminer rapidement vers un centre de sauvegarde accrédité. Cette législation a été créée pour éviter que des personnes mal ou bien intentionnées ne détiennent des animaux dans de mauvaises conditions.
Le plus sage reste de vous en remettre aux autorités compétentes : gendarmes, gardes de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, qui sauront comment prendre l’animal en charge. Vous pouvez également contacter un vétérinaire. Selon le code rural il est obligé d’apporter des soins d’urgence à un animal. Encore plus si l’animal est une espèce protégée comme : le hérisson, l’écureuil roux, le castor, la loutre, les chauves-souris, les rapaces diurnes et nocturnes, de nombreuses grenouilles, les crapauds, la salamandre… Il est malheureusement probable qu’il refuse d’examiner l’animal faute d’en avoir les compétences. Il doit alors vous donner les coordonnées d’un confrère mieux formé. S’il accepte, l’examen et les soins sont gratuits (la faune sauvage autochtone a une valeur patrimoniale et n’appartiennent à personne), il ne vous en coûtera peut-être que quelques médicaments.
Enfin, il existe des centres de soins habilités et spécialisés pour la faune sauvage : http://uncs.chez.com/
Si vous trouvez un jeune animal ne le récupérez pas!
Il n’est probablement pas abandonné et serait alors condamné à vivre en captivité, ou pourrait être euthanasié faute de placement. Renoncer à les élever vous même : imprégnés à l’homme, vous priveriez ces animaux de toute chance de retrouver une vie sauvage et autonome.
Oiseaux
Un oisillon peut vous paraître abandonné, tombé du nid, alors qu’en réalité ses parents attendent que vous soyez parti pour s’en occuper. Si vous voyez, par exemple un jeune merle ou une grive au sol, ne sachant pas voler, laissez-le. Ces oiseaux sortent du nid vers le quatorzième jour, sans savoir voler et sont nourris au sol par les parents. Quant à la jeune chouette hulotte, elle sort du nid au bout de 3-4 semaines et se perche sur une branche. Si vous la trouvez au sol, ne la récupérez pas, mais aidez-là à se percher.
Mammifères
Le faon, le petit chevreuil, le lapereau restent à « point fixe » en attendant le retour de leur mère partie se nourrir. Ne les touchez pas, car s’ils portent l’odeur humaine, leur mère les abandonnerait. Si vous avez un doute, revenez au même endroit 2 ou 3 heures plus tard ou le lendemain.
Laissez les animaux à la nature, pour assurer leur survie…
Ces faons, ces petites chouettes, et bien d’autres ont plus besoin de calme que de présence humaine. S’ils ne vous paraissent pas blessés, éclipsez-vous discrètement. Combien d’animaux ont ainsi été arrachés à la nature par des promeneurs bien intentionnés ? C’est ainsi que faute de soins adaptés certains périssent, d’autres finissent leur vie en captivité ou d’autres encore sont euthanasiés après saisie chez le particulier, faute d’avoir pu être accueillis dans une structure adaptée.… et votre sécurité !
Si les animaux se sentent agressés, ils se défendent ! Attention donc aux becs, dents, serres ou griffes…
Il est des cas où l’animal est visiblement en détresse (blessure apparente, prédateurs domestiques tels que chats ou chiens à proximité…) : il faut alors intervenir !
Précaution et calme
Quel que soit l’animal rencontré, le mieux est de jeter une couverture ou un vêtement dessus, puis de le mettre à l’intérieur d’un carton fermé percé de trous ou d’une panière à chat.
Évitez bien sûr de montrer l’animal à tout le voisinage, une photo suffira pour immortaliser l’événement. Beaucoup d’animaux recueillis meurent suite à des lésions générées par le stress et la terreur entrainée par leur captivité
Placez l’animal à l’abris des courants d’air, au calme et laissez-le dans l’obscurité pour limiter son stress. Attention également aux quelques (rares) maladies transmissibles à l’homme : lavez-vous donc soigneusement les mains après manipulation si vous n’avez pas utilisé de gants.
Ne soignez pas vous-même les animaux
Lorsque vous aidez un animal sauvage, vous le faites pour lui et non pour vous.
Contactez au plus vite un centre de sauvegarde pour animal sauvage (www.uncs.chez.com), afin de ne pas faire d’erreur irréparable et d’organiser son transfert rapide vers une structure d’accueil habilitée.
Quelques recettes de cuisine!
Pour les mammifères carnivores et le hérisson : pâtée pour chat, croquettes pour chien ou chat imbibées d’eau, viande hachée.
Pour les rongeurs ou herbivores : graines, fruits, légumes bien lavés.
Pas de pomme de terre.
À bannir : Ne donnez jamais ni de pain, ni de lait, ni de jaune d’œuf dur écrasé. Le lait est indigeste et toxique pour les oiseaux par exemple qui ne possèdent pas les enzymes permettant de digérer ses protéines. Quant au pain il gonfle dans l’intestin et provoque des occlusions intestinales et le sel qu’il contient est toxique. Il faut proposer de l’eau sans forcer l’animal à boire. Le lait n’est utile qu’aux bébés mammifères, et il faut qu’il soit adapté au régime alimentaire du jeune animal (pas de lait de vache pour un carnivore !).
Source ASPAS http://www.aspas-nature.org/