1 : Interdiction de l'élevage en cage
2 : Interdiction des élevages à fourrure
3 : En finir avec l'élevage intensif
4 : Interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses dites traditionnelles
5 : Interdiction des spectacles avec animaux sauvages
6 : Fin de l'expérimentation animale
Si il y a bien une « pré pétition » que vous devez signer pour la cause animale, c’est celle là !
https://referendumpourlesanimaux.fr/
Une fois sur le site, comment soutenir?
1- Dans un premier temps, apportez votre soutien en cliquant sur « Je m’engage ! » et en laissant vos coordonnées afin d’être tenus informés des suites de l’initiative. N’hésitez pas à contacter votre député et/ou sénateur pour l’inciter à soutenir le référendum pour les animaux.
2- Dans un second temps, une fois le recueil des soutiens mis en place (vous serez alertés), il suffira de vous connecter sur le site créé par le ministère de l’Intérieur pour apporter votre signature. Pas d’inquiétude, nous vous donnerons la marche à suivre.
3- Dès maintenant et pendant les mois qui viennent, parlez du référendum pour les animaux autour de vous et sur les réseaux sociaux pour inciter vos proches à signer. Des groupes locaux seront mis en place près de chez vous pour faciliter la mobilisation. Si vous parvenez à convaincre quelques personnes autour de vous, c’est gagné !
De quoi s’agit il ?
Il s’agit d’un projet de référendum sur la cause animale qui réunit des grands noms de la tech et une vingtaine d’associations.
Une alliance de grands patrons et de militants qui veut faire adopter par les parlementaires le principe d’un référendum d’initiative partagée pour faire avancer plusieurs mesures défendant les animaux.
Trois patrons d’entreprises de la tech – Xavier Niel (groupe Iliad), Marc Simoncini (fondateur du site Meetic), Jacques-Antoine Granjon (Veepee, ex-vente-privée.com) mais aussi le journaliste Hugo Clément (France Télévisions) ont présenté les contours d’un texte qu’ils vont défendre dans les prochains mois, dont ils estiment qu’il pourrait « améliorer le sort d’un milliard d’animaux en France ».
Elaborée avec une alliance très large d’une vingtaine d’associations de défense des animaux (L214, Compassion in World Farming France, Welfarm, Rewild, la Fondation Brigitte Bardot…) et de protection de l’environnement (GoodPlanet, la Fondation pour la nature et l’homme), la proposition de loi devra d’abord obtenir le soutien de 185 députés ou sénateurs, soit un cinquième des parlementaires, puis être examinée par le Conseil constitutionnel. C’est seulement après la validation par ses membres que s’ouvrirait une période de neuf mois pour réunir 4,7 millions de signatures. Une échéance serrée pour atteindre ce seuil très élevé, qui conditionne la transmission du texte au Parlement ou au vote des Français par référendum.
La question du bien-être animal est soutenue par 80 % des Françaises et des Français, qu'ils soient de gauche ou de droite, urbains ou ruraux. Pourquoi la classe politique continue d'ignorer l'opinion publique ? », s'interroge Hugo Clément.
Nous sommes en effet nombreux à défendre la cause animale, pourtant cela ne se reflète pas dans les décisions prises par les hommes politiques. Les chasseurs, pourtant bien moins nombreux, pèsent lourd dans la vie politique. Ils savent se rassembler et voter comme un seul homme. Ils obtiennent bien plus que nous, même dans le plus petit village.
Les défenseurs de la cause animale sont perçus comme étant en majorité des blondes écervelées, hystériques, frustrées… des caricatures. Comme si on ne pouvait pas avoir un QI et être touché(e) par la cause animale. Pour la première fois un projet de référendum est porté par des associations qui font déjà un énorme travail de terrain, mais aussi par des grands patrons, des hommes qui ont un poids certain dans l’économie, qui chacun dans leur genre ont su anticiper. Alors on se prend à rêver et on se dit que cette fois ci, la donne pourrait bien changer. Parce que c’est ce qui manque à la protection animale : peser dans le débat politique.
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